SUR / SOUS L'EAU

Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sur l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sur l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sur l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sur l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sous l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sous l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sous l'eau
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt-Sous l'eau


C’est une perception à la fois harmonieuse et inquiète. Le bonheur de se laisser flotter juste
sous la surface, dans cette atmosphère sonore, sourde et spacieuse à la fois. A l’inverse de l’attraction terrestre, être attiré vers le haut :
il y a forcément un bout de chair qui dépasse

à la surface.Sauf en vidant ses poumons mais alors vient le danger, la peur de boire la tasse. Une parcelle de corps est isolée par cette limite sensorielle assez violente : au-dessus le contact de l’air sec, puis la limite fluide de l’eau qui chatouille. Les parcelles de corps sur et sous l’eau sont deux réalités différentes. Tout est mouvant, rien n’est maîtrisable, seule la lumière solaire donne un point de repère.
Voir le croquis préparatoire pour la série